L'oeil de Jeremy

21Mar/19Off

Visiter Seville

1. Commencez par la Cathédrale ou l’Alcazar de Séville, celui que vous n’avez pas visité le 1er jour! 5. Assister à un spectacle de flamenco. Je vous recommande de le réserver en cliquant ici. 5. Vous aurez aussi certainement envie de retourner à la place d’Espagne! Visiter Séville en 4 jours, je pense que c’est une bonne idée si vous aimez prendre votre temps ou que vous le faites avec des enfants. Cela vous permettra de ralentir de rythme et de profiter de la ville tranquillement! Autrement, je vous conseille plutôt de faire une excursion d’une journée à Cordoue, cela se fait très bien depuis Séville, le temps de trajet entre les 2 villes étant de seulement 40 minutes en train! C’est d’ailleurs la solution que nous avions choisis lors de notre voyage en Andalousie. Pour ce 4ème jour, je vous recommande donc de lire notre article: Que faire à Cordoue? L'Espagne n'a été unifiée qu'au début du XVIe siècle. Certaines régions ont une forte identité et réclament plus d'autonomie : c'est le cas du Pays basque et de la Catalogne. Le retour à la démocratie après la mort du général Franco en 1975, a établi la division de l'Espagne en grandes régions appelées communautés autonomes, qui disposent de certains pouvoirs en face du gouvernement central de Madrid. La plupart de la population de l'Espagne (73,2 %) est catholique, bien que le pourcentage de pratiquants soit bien inférieure (13,7 %). 22 % de la population est reconnue n'avoir aucune religion (défini comme athées ou non-croyants). Il y a aussi (2 %) de minorités religieuses de tous ordres2. La cuisine espagnole inclut la paella, typique de Valence. Les fêtes de San Fermin se célèbrent à Pampelune, en Navarre, du 6 au 14 juillet. Il est de coutume de considérer ces fêtes comme les 3e du monde en nombre de participants, après le carnaval de Rio et la fête de la Bière. On estime à 3 millions le nombre de personnes qui peuplent les rues de Pampelune pendant neuf jours. Ces fêtes multicolores transforment littéralement le visage de la capitale navarraise, qui devient le théâtre d’un spectacle populaire. À cette occasion, les habitants revêtent une tenue blanche, rehaussée d’un foulard et d’une ceinture rouge. La Tomatina est une fête lors de laquelle on lance des tomates sur les gens le 4 septembre. Ce jeu a été inventé une année où il y avait eu un surplus de tomates en Espagne.

Il n’existe pas une Espagne, mais plusieurs. Diversité des paysages, des cultures, des langues (castillan, catalan, basque), des terroirs et des villes. L’Espagne s’offre à tous les goûts : laissons de côté les plages envahies l’été et la Costa del Sol bétonnée par les complexes hôteliers. Pour cela, il suffit parfois de s’éloigner d’une dizaine de kilomètres des foules. Découvrir Salamanque, la petite Rome espagnole, ou Tolède la belle médiévale perchée sur son promontoire. Parcourir le rude plateau de Castille, de Ségovie à Léon, à la découverte de magnifiques cathédrales et d’extraordinaires musées. Goûter à la spécificité de l’âme catalane et à ses trésors artistiques, de Dalí à Gaudí en passant par Tapiès et Miró. Prendre le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle pour admirer les beautés de la rurale Galice, aussi verdoyante que la terre des Basques, à laquelle ils sont tant attachés. Ou, enfin, un soir de fête à Séville, Madrid ou Barcelone, succomber à cet éclatant bonheur de vivre qui est la marque du pays tout entier. Car les nuits y sont souvent plus intenses que les jours. Il faut partir à la rencontre de ses habitants, fréquenter ses bodegas et se régaler de sa cuisine, car l’Espagne est un pays à vivre. Elle n’est pas seulement diverse, elle est inépuisable !

Mais c’est là que vous trouverez l’un des meilleurs points de vue de la ville. Vous pouvez en effet monter au sommet de l’édifice et admirer une vue à 360 degrés de Séville. Le mieux, c’est que l’entrée coute à peine 3 euros et petit bonus, votre ticket d’entrée vous donne droit à une réduction de 1 euro à la terrasse du café situé tout en haut. L’occasion rêvée de profiter d’un apéro et du coucher du soleil sur la ville d’une façon insolite. Ou, a la place, vous pouvez aussi utiliser votre billet d’entrée au restaurant « La Sureña » situé en bas du Metropol Parasol. Vous aurez droit à une bière gratuite. Tout récent (ouvert en 2014), l’aquarium de Séville peut être une bonne sortie à faire avec vos enfants. Au programme: des poissons exotiques, des requins, des tortues, des poulpes et des bassins permettant de toucher des étoiles et des concombres de mer.

Il est relié à la ville par le réseau du Métro, c'est un aéroport sophistiqué. Il est facile d'arriver en train à Madrid car c'est le point central de l'Espagne. Ainsi il y a deux gares où il est possible d'arriver depuis n'importe quelle ville d'Espagne. La gare centrale est celle d'Atocha, d'où partent la majorité des trains à grande vitesse (AVE). Ensuite la gare de Chamartín dessert le nord de l'Espagne. M-40 M-45 et M-50 passant non loin de la capitale. Il y a de nombreuses gares routières à Madrid, il est donc aisé d'arriver en bus. La gare Madrid et les principales villes d'Espagne la principale est la Estación Sur située à Méndez Álvaro mais il existe deux autres stations: Avenida de América et Conde de Casal. Les bus qui font des trajets entre sont très nombreux et bon marché, souvent plus confortables. Tout d'abord il est fortement conseillé d'éviter la voiture. Par contre ne vous attendez pas à voir les fameuses archives, elles sont conservées à l’abri des regards. Et oui tous les dossiers en carton alignés sur les bibliothèques sont vides! N’hésitez pas à y faire un tour après votre visite de la Cathédrale, cela ne vous prendra qu’ ¼ d’heure. Tous ses monuments les plus célèbres de Séville sont regroupés dans le quartier de Santa Cruz, le quartier le plus représentatif de Séville, le plus typique, le cœur historique et donc le plus touristique. Vous pourrez déambuler dans les ruelles piétonnes, prendre un café ou déjeuner dans les nombreux bars et restaurants et également en profiter pour faire quelques achats de souvenirs dans les multiples boutiques. Lieu très agréable pour une petite balade avec ses patios, ses maisons blanchies à la chaux et ses jolies places. Rendez-vous sur la plaza Patio de Banderas pour profiter d’une jolie vue sur la cathédrale. La Casa de Pilatos est un palais aristocratique construit en 1540 par le premier marquis de Tarifa qui s’inspira d’un voyage en Italie pour construire son palais.

Santiago Solari (entraîneur du Real Madrid, après le nul 1-1 face au Barça) : « C'est difficile de parler de justice dans le foot. Nous avons eu des occasions en première période, et d'autres en fin de match. Je veux retenir que c'était un très beau match, avec beaucoup de talent sur le terrain, très agréable, avec de belles alternances. C'était beau à voir, pas seulement pour nous qui travaillons au quotidien mais aussi pour les supporters. Pour le retour (mercredi 27 février), tout reste ouvert. Nous voulons toujours gagner, nous avons eu des occasions de marquer un deuxième but mais peut-être pas de gagner. Nous repartons satisfaits de notre performance. Dans le foot, il faut avoir de la réussite face au but. Ce résultat confirme que cette équipe travaille avec beaucoup de sérieux. Quand un gamin de bientôt 19 ans joue et se démarque de cette manière, cela surprend un peu tout le monde parce que cela n'arrive pas souvent. Il a beaucoup de mérite, et ses partenaires aussi, qui l'ont accueilli, conseillé et qui le soutiennent sur le terrain pour qu'il puisse briller.

En effet Madrid étant la capitale de l'Espagne, elle est engorgée à toutes les heures, pas seulement à cause du trafic mais aussi à cause des nombreux chantiers. De toute façon, il est très facile de se repérer en voiture grâce à la Gran Via et a la Calle de Alcala qui traversent Madrid d'Est en Ouest ainsi que de l'axe Nord-Sud du Paseo de la Castellana. Il faut aussi faire attention au stationnement : il n'y a presque aucun parking gratuit, les places sont rares et les policiers passent très souvent. Vérifiez attentivement d'être en règle avant de laisser votre carrosse. Ces individus tentent de vous faire serrer à droite, soit de simuler une panne mécanique. Si vous sentez venir le danger, gagnez la première sortie en direction de la ville ou arrêtez-vous devant une station-service ouverte, la présence providentielle de témoins suffit généralement à leur faire abandonner la partie à tout jamais. Les plus : la situation géographique excellente, la piscine sur le toit, le personnel très serviable. EME Catedral Hotel: Situé juste à côté de la cathédrale de Séville et de la Giralda. Chambre double très moderne et design à partir de 180€ la nuit, petit-déjeuner à 20€. Les plus: l’emplacement fabuleux, le design de l’hôtel, la piscine avec vue sur la cathédrale, le petit-déjeuner varié et de qualité. N’hésitez plus, c’est notre recommandation pour un séjour de luxe à Séville ! Restaurant Casa Cuesta : Situé dans le quartier de Triana, à côté du marché couvert. Nous avons testé la sangria et pris chacun 3 assiettes de tapas. Tout était délicieux et copieux, à des prix corrects. Et nous n’avions même plus de place pour un dessert. Bon, J’ai quand même mangé une glace! Eslava: Situé à côté de la parroquia de San Lorenzo. Bar à tapas gastronomique avec des tapas au gout subtil et raffiné et même 2 tapas « médaillés », tout ça pour des prix à partir de 3€ ! Mais attention les places sont chères et sans possibilité de réservation.

La Brunilda : Situé à une centaine de mètre du Pont Isabel II, très bon bar à tapas. Choix variés et tapas délicieux pour un prix correct. Peu de places assises, on vous conseille d’y aller un peu avant l’ouverture pour être sur d’avoir une place. Voici une carte touristique de Séville, qui vous aidera à vous faire une idée de la localisation des différents lieux d’intérêts de la ville. Pensez à la mettre sur votre smartphone, elle pourra vous être utile! J’ai eu 3 coups de cœurs à Séville: la fameuse place d’Espagne que j’ai trouvé immense et magnifique, et en amateur de photo que je suis, vraiment très photogénique ! C’est clairement mon numéro 1 de la ville. La cathédrale de Séville, qui est gigantesque, et très agréable à visiter, en particulier pendant la messe, lors qu’il n’y a pratiquement personne. Mon 3ème coup de cœur est la casa de Pilatos avec son patio et ses jardins qui bien que petits, sont très beaux. Peuplée depuis le paléolithique inférieur, ce n'est qu'en 1561 que le roi Philippe II fait de Madrid la capitale de son vaste empire. À proximité de la Plaza Mayor se trouve le « centre aristocratique » où s'érige le palais royal, monumentale construction du XVIIe siècle, de facture hybride entre le baroque et le classicisme. À ses côtés, la place de Oriente, le théâtre de l'opéra et la moderne cathédrale de la Almudena, consacrée en 1993 par le pape Jean-Paul II. L'art et la culture occupent une place toute particulière dans les activités madrilènes. La capitale possède plus de 60 musées qui regroupent tout le savoir humain. Citons le musée du Prado, qui abrite l'une des plus importantes pinacothèques au monde, ou le musée Thyssen-Bornemisza, qui expose plus de 800 toiles depuis les primitifs flamands jusqu'aux mouvements avant-gardistes. Ou encore le Centre national d'art Reina Sofía, consacré à l'art espagnol contemporain, qui expose des œuvres de Picasso, Joan Miró, Salvador Dalí et Juan Gris, entre autres. Mais s'il y a une chose qui caractérise Madrid, c'est bien sa profonde et contagieuse passion pour la vie, qui se reflète dans le caractère amical de ses gens. Les concerts, expositions, ballets, pièces de théâtre, premières cinématographiques, la meilleure gastronomie espagnole et internationale, le charme de ses bars et tavernes, ne représentent que quelques unes des options de loisirs de Madrid. À cela ajoutons une impressionnante offre de commerces et la possibilité d'effectuer ses achats aussi bien dans des boutiques traditionnelles que dans les principaux établissements des meilleures marques internationales.

Remplis sous: Non classé Commentaires
9Mar/19Off

New York: l’avenir du marketing

Il y a une tendance actuelle consiste à orner le contenu de toutes les qualités, comme s'il était la planche de salut des marques. Je ne n'approuve pas cette ferveur, qui me semble, comme d'habitude, poussée. Le brand content n'a pas vocation à remplacer les autres dispositifs de communication des marques. Mais ce qui ne fait pas l'ombre d'un doute, c'est qu'il va tout de même rénover le paysage médiatique. Dernièrement, j'ai d'ailleurs suivi un séminaire à New York où les défis qu'apporte le brand content ont été envisagées. Jusqu'à une période récente, la frontière entre le territoire des marques et l'écosystème des créateurs de contenus était une évidence, et était protégée par une réglementation, particulièrement dans notre pays, où cette barrière est pratiquement aussi profonde que celle entre Eglise et Etat. A présent cependant, le contenu de marque, qu'il soit issu de l' union des marques à des contenus ou d'une création spécifique enjoint de fait à modifier notre regard sur les relations qu'il peut y avoir entre ces deux univers. Il va donc falloir envisager de nouvelles façons de se repérer dans ce nouvel univers d'objets composites, produits de développeurs multiples, parés de buts variés, pour avertir le spectateur du type de contenu auquel il est exposé, et s'habituer à découvrir des contenus de plus en plus mélangés. Il faudra tout autant se former pour faire collaborer des acteurs qui sont d'une part multiples pour la création d’un objet de communication, et qui parlent surtout des langues distincts, nés de tâches différentes. Faire coopérer les artistes et les marques n'est pas toujours commode, mais elle va vite s'imposer comme importante. Et on peut déjà présumer que les personnes à la frontière de ces deux mondes seront hautement demandés. Les producteurs de contenus ont donc intérêt à former une expertise pour gérer les problèmes afférents à une association avec les marques : télescopage culturel entre l'artistique et le mercantile, les questions de déontologie, les modalités de l'intégration de la marque au sein du contenu, les vues commerciales de la marque et l'impartialité de l'information... Ce qui m'est apparu avec clarté durant ce congrès à New York, c'est que les défis de la communication de demain ne seront à l'avenir selon toute probabilité pas de communiquer avec les consommateurs, mais de faire que tous ces acteurs découlant d'univers variés se rassemblent autour du contenu et parviennent à travailler entre eux. Et dans ce domaine, je devine qu'un grand travail nous attend !Plus d'information est disponible sur le site de l'agence organisatrice de ce séminaire à New York. Suivez le lien.

Remplis sous: Non classé Commentaires
8Mar/19Off

Mourmansk n’est plus une poubelle nucléaire

Russie Les combustibles de l’ex-base soviétique de sous-marins près de Mourmansk sont enfin traités. Au prix d’efforts internationaux. « Ce sont des décennies d’efforts qui, aujourd’hui, sont récompensés. Nous pouvons être fiers de ce que nous laissons à nos petits enfants : un monde avec un cimetière nucléaire en moins ! » Dans la baie d’Andreyeva, près de Mourmansk, légendaire ville portuaire soviétique sur la mer de Barents, Alexandre Nikitine ne cache pas sa joie. A l’ère de l’URSS, la zone était fermée aux étrangers. Et pour cause : c’était la base nord de la flotte de sous-marins soviétiques qui, pour leurs moteurs comme pour leurs armements, dépendaient du combustible nucléaire. Une flotte longtemps laissée en ruines et à l’abandon avant même la chute de l’URSS. Mais aujourd’hui, la situation est enfin en train de changer. Depuis un peu plus d’un mois, les déchets nucléaires du site sont évacués pour être traités. Le 27 juin, sous le faible soleil polaire de la baie d’Andreyeva, le bateau spécialement conçu pour l’inédite opération d’évacuation nucléaire est enfin parti de l’ancienne base, avec à son bord le premier des chargements. Ce fut l’occasion d’une cérémonie officielle. Ces sous-marins soviétiques, c’est un « Tchernobyl flottant », résume Alexandre Nikitine. Cet ancien officier de sous-marin s’est transformé en défenseur de l’environnement. Depuis le début des années 1990, il se bat pour le démantèlement de cette flotte à haut risque et pour le transfert de tous les combustibles nucléaires. A terme, 22 000 assemblages de combustibles doivent être transportés jusqu’à l’usine russe de traitement des déchets nucléaires de Mayak, dans l’Oural. « Personne ne se souvient plus de ce qu’il y avait ici il y a vingt ans », ironise Alexandre Nikitine qui, dans son combat pour nettoyer la région des déchets radioactifs, s’est associé à Bellona, la fondation écologiste norvégienne très active à Mourmansk. La Norvège est particulièrement concernée car sa frontière se trouve à 50 kilomètres de la base. Mais ce combat, mené à Oslo et par quelques écologistes audacieux à Mourmansk, a été longtemps mal vu par les autorités à Moscou.. En 1996, Alexandre Nikitine a même été accusé et emprisonné pour espionnage après avoir révélé des informations sur le mauvais état de la base notamment après l’accident de 1982 dans l’une des piscines de stockage. Fait impensable sous l’URSS, de nombreux drapeaux occidentaux flottaient le 27 juin, date du début de l’opération, dans l’ancienne base interdite aux étrangers. Le programme de nettoyage, dont la réalisation doit s’étaler sur de longues années, est en effet financé par la BERD (la Banque européenne pour la reconstruction et le développement) avec l’Union européenne et sept pays occidentaux (Allemagne, Canada, Danemark, Finlande, France, Norvège et Royaume-Uni). En dix ans de coopération internationale, les installations dangereusement en ruines ont été remplacées par des infrastructures aux normes internationales. « Dès le début, les Russes avaient conscience de l’ampleur du problème mais n’avaient ni les moyens ni les finances pour le résoudre », se souvient Jane Smith-Briggs, Britannique en charge des dossiers nucléaires à la BERD, qui est venue en moyenne cinq fois par an sur le site depuis quinze ans. « C’est un bel et rare exemple de bonne coopération internationale ! » Lors de la cérémonie du 27 juin, les Russes ne cachaient pas satisfaction et soulagement. « Une étape a été franchie. Grâce à une infrastructure technologique qui, unique au monde, permet d’agir en toute sécurité », s’est félicité Oleg Kryukov, directeur du département « decommissioning » de Rosatom, le géant nucléaire russe. Il a évalué à 18 milliards de roubles (quelque 260 millions d’euros) le coût de ce vaste nettoyage nucléaire. Un budget couvert à moitié par la Russie et à moitié par les aides occidentales. Dans son discours, il n’a cependant pas dit un mot de reconnaissance pour les ONG et la société civile. Triste ironie de l’histoire, la filiale à Mourmansk de Bellona, l’ONG norvégienne pourtant au cœur de la sensibilisation de l’opinion publique, vient d’être classée « agent étranger » par les autorités, accusée d’être financée de l’étranger avec une présupposée « activité politique ». « Depuis des années, nous faisons simplement le travail d’information que personne d’autre ne fait », s’inquiète Andreï Zolotkov, le représentant de Bellona à Mourmansk.

Remplis sous: Non classé Commentaires
5Mar/19Off

Orban bientôt hors de l’Europe

Le Rassemblement populaire européen (PPE), qui convient au centre, a entamé une procédure d’exclusion qui pourrait le débarrasser de lui-même et de son parti Fidesz. Douze célébrations gouvernementales dans le PPE ont souhaité la décision, qui passera maintenant à un vote total dans deux semaines. Cela fait sens, quelques mois d’anxiété entre M. Orban et quelques-uns de ses collègues de l’UE. Tout récemment, le discours anti-UE de M. Orban a visé les personnes âgées du PPE, le principal bloc conservateur de l'UE. Sa célébration a commandé des affiches présentant le membre du PPE et président de la Commission occidentale, Jean-Claude Juncker, aux côtés d'une photographie du philanthrope milliardaire hongrois George Soros, souvent la cible de concepts de complot et de rhétorique anti-immigration. Il était absolument intitulé "vous avez le droit de savoir ce que Bruxelles prépare" et a accusé M. Juncker de faire pression pour un programme en faveur de l'immigration garanti par M. Soros. "Les Occidentaux se réunissent est une famille importante qui pourrait avoir ses propres différences", a déclaré le chef du PPE, Joseph Daul, au journal allemand Passed Welt. "Mais il y a cependant une limite et Viktor Orban a traversé la collection de couleur rougeâtre." M. Orban, malgré tout, a qualifié les "personnes utiles pour son éradication du PPE". Lors d'une conversation avec l'édition de dimanche de Perish Welt, il a déclaré que cette politique conservée était une orchestration de situations sur des problèmes du PPE - et que d'autres appelant à son élimination accordaient involontairement cette attention. Le gouvernement fédéral de M. Orban a poursuivi un programme farouchement contre-nationaliste et contre l'immigration, qui l'a maintenu séparé en Europe et soumis à des mesures disciplinaires de la part de votre Parlement européen. Il continue d'être apprécié en Hongrie, après avoir obtenu une troisième phrase au bureau et une majorité au parlement pour sa réunion du Fidesz aux dernières élections. Cependant, les récentes manifestations contre les conditions de travail étaient une manifestation rare de mécontentement généralisé. Son placement dans l'Union européenne continue d'être renforcé car ils font partie du même groupe que les autres événements politiques conservateurs traditionnels, parmi lesquels le CDU bash d'Angela Merkel en Allemagne, qui n'a pas vraiment appelé à l'exclusion du Fidesz. Le PPE est tenu de débattre de l’exclusion d’un membre lorsque sept partis le demanderont officiellement, mais ce nombre est passé à 12 partis de neuf pays au plus tard lundi soir, a précisé le groupe.

Remplis sous: Non classé Commentaires